La saison des observations a commencé la nuit dernière sur mon autre blog consacré à l'astronomie, FilAstro > Photos !

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La saison des observations a commencé la nuit dernière sur mon autre blog consacré à l'astronomie, FilAstro > Photos !
Bien que n'étant plus à Paris pour cause de vacances, Vélib me poursuit jusqu'en Normandie !
Dès la page 4 de Ouest France, le quotidien régional nous apprend aujourd'hui - je m'en doutais un peu ! - que c'est le système informatique de Vélib qui occasionne les soucis rencontrés avec certaines bornes :
Mais la bonne nouvelle, c'est aussi la confirmation du succès de l'opération : 440000 locations de vélo en 15 jours !
Le diagnostic vient de tomber, rien de catastrophique...
Bon, d'accord, ça, c'est un peu préoccupant :
Mais d'un autre côté :
Suite ce soir de mon exploration des "nouveaux transports" parisiens : après le vélo (le Vélib), place au tramway (le Tram T3) !
Après être revenu du bureau jusque chez moi en Vélib, place au bus 58 puis au nouveau tramway (ligne T3 inaugurée fin décembre 2006) pour me rendre jusqu'au terminus de cette nouvelle ligne, Porte d'Ivry, en seulement 14 minutes :
Un petit tour par la rue Régnault (mon peut-être-futur bureau en septembre 2008), toute proche :
...puis retour en Tram jusqu'à la porte d'Orléans :
Un coup d'oeil sur l'état des stations Vélib, grâce à mon PocketPC et à sa connexion Internet : la station de ma rue est encore une fois saturée, mais il y a de la place rue Mouton Duvernet.
Bon, c'est pas tout ça, mais je l'ai pris pour 24 heures, moi, cet abonnement Vélib !
Nuit ou pas, il faut donc l'amortir, alors, assez de métro, place au vélo !
C'est parti pour une petite promenade dans le XIVème arrondissement :
Qu'on se le dise : je persiste à croire au Vélib ...
C'est donc juste en face l'appartement du célèbre commissaire Maigret , situé sur ce boulevard comme chacun le sait (et même, très précisément, au n° 132, comme chacun le sait moins
), que j'ai retenté de prendre un abonnement Vélib pour 24 heures :
Ca a donc bien marché cette fois-ci, roulez jeunesse :
Un périple (disons une petite boucle, une bouclette autrement dit) à pas couper le souffle du tout de 853 mètres (dixit le GPS), donc, pour cette première sortie :
...et un retour sans autres difficultés que de tenir l'appareil photo (pour ce blog'reportage) tout en enclenchant le Vélib sur son point d'attache :
Ca y est, j'ai donc fait du Vélib !
Qu'elle ne fut ma surprise ce matin, dans le métro, en finissant de lire la page Canardages du Canard enchaîné de mercredi dernier, de découvrir qu'on y parlait de L'Aigle !
Le Canard raille en effet un propos de Michel-Edouard Leclerc à propos des "espaces culturels" qu'il a ouvert dans ses magasins de province :
Le Canard fait référence à cet article paru dans Libé le 11 juillet 2007. Ce dernier est quant à lui une sorte de droit de réponse du patron des hypermarchés E.Leclerc, à une critique au vitriol d'un journaliste du quotidien à propos d'un spot de pub que, pour ma part, je trouve rigolo. Je vous en fait donc profiter, puisque j'ai réussi à le dénicher sur Internet :
Bon, ben ça a été un peu loupé, ma première tentative de Vélib ! La station à côté de chez moi avait l'air de marcher... mais elle ne marchait pas, impossible de prendre un abonnement !
Celle au début de la rue Mouton-Duvernet (que j'avais le projet fou de remonter , cette rue ayant la particularité d'avoir une station à chaque bout)... était "en maintenance"...
...et finalement, c'était plutôt pas mal, car ma station d'arrivée était en maintenance aussi . Une station "en maintenance" empêche de prendre un vélo, mais pas de les déposer... Au final, une station "en maintenance" présente donc aussi la particularité d'être saturée
!
Bon, ce n'est que partie remise, il est évident qu'un système d'une telle ampleur a besoin d'être rodé...
Pourtant, j'avais prévu un vrai reportage sur mon épopée à vélib' , ça partait bien :
...mais ça s'est vite arrêté :
Rendez-vous à la prochaine tentative !
C'est "le" sujet de discussion des parisiens depuis le week-end dernier : le Velib !
Essayer ces vélos en libre service que l'on trouve à chaque coin de rue me démange sérieusement depuis le début de la semaine... Il faut dire que j'ai une station à ma porte et une autre à une centaine de mètres du bureau...
Mais bon, voilà : j'ai un peu la trouille ! Pas de faire du vélo, mais de faire du vélo au milieu des voitures, notamment sur les grandes artères (j'en ai 3 à traverser : avenue du Maine, bd du Montparnasse et rue de Rennes, rien que ça !).
Donc, pour l'instant, je n'ai pas encore franchi le pas... Mais ce sera peut-être chose faite dans quelques minutes, non pas pour aller au bureau, mais simplement pour me rendre avenue du Général Leclerc, pas loin de chez moi donc !
Alors, Velib or not Velib ? Réponse plus tard dans la soirée !
Oui, bon, d'accord, j'exagère à peine, mais ça fait plaisir de recevoir des commentaires sympa !
Comme annoncé à l'époque, mes quelques jours de balades fin mai dans la forêt de Tronçais et ses environs ont été l'occasion de capturer, en plus des habituelles (nombreuses) photographies, les tracés GPS de chacune des randonnées (à l'aide d'un PocketPC Glofiish X500 sur lequel étaient installés le logiciel Bayo PocketExplorer et les fonds de carte au 1/25000 de la région).
De retour à la base, le but du jeu a donc été le suivant : "mixer" les photos et les enregistrements du GPS, le point commun entre les 2 étant l'heure et la date. En effet, une photo est horodatée ; et un enregistrement GPS n'est finalement pas grand chose d'autre qu'une heure, une date, une latitude et une longitude.
Il a donc suffit, avant de partir en balade, de bien ajuster l'heure et la date de l'appareil photo sur celles récupérées des satellites par le GPS, pour qu'un rapprochement précis soit ensuite possible (1 minute de décalage entre les deux appareils pourrait en effet se traduire par plusieurs dizaines de mètres d'erreur dans le positionnement de la photo !) . Les fichiers .JPG enregistrés par tout appareil photo numérique disposent, dans ce que l'on appelle leurs "données EXIF", de nombreuses informations sur les conditions de prise de vue (type d'appareil, photo avec ou sans flash, etc...). Deux de ces zones permettent le stockage des coordonnées : latitude et longitude.Pour simplifier ce rapprochement, plusieurs logiciels existent sur le marché, l'un des plus aboutis de ceux que j'ai pu tester étant RoboGEO, que j'ai utilisé dans cet exemple.
Outre le géocodage des fichiers .JPG à proprement parler (les coordonnées de chaque photo sont à présent définitivement "gravées" dans le fichier .JPG, permettant dans de nombreuses années de retrouver très précisément le lieu où elles ont été prises, quand bien même les sites sur lesquels elles ont été publiées auraient disparu !) , ces logiciels amplifient considérablement les informations échangées lors du partage des photos via un service en ligne tel que Flickr : comme je l'ai déjà montré avec quelques exemples, chaque photo vue dans Flickr comporte des liens permettant de la positionner sur différents systèmes de cartographie en ligne, tels Google Maps, Yahoo! Maps ou même Google Earth.
En faisant appel aux services de Google Maps (via sa remarquable API - interface de programmation -), et à un espace d'hébergement de pages perso tout bête (tel celui dont tout internaute dispose via son fournisseur d'accès), on peut même assez facilement proposer sur son propre site web une présentation très attrayante d'une excursion, ses photos venant prendre place automatiquement soit sur des fonds de carte (en cliquant sur PLAN en haut à droite), soit sur des vues aériennes (SATELLITE), soit même sur un "mix" des deux (MIXTE, l'affichage que j'ai choisi par défaut) !
Sur ces fonds de carte, chacune des photos que l'on propose aux visiteurs de son site est matérialisée dans un premier temps par une "puce rouge". Un simple clic sur une de ces puces et la photo apparaît dans une bulle, pointant l'endroit où elle a été prise !
Bien évidemment, un nouveau clic sur la photo à l'intérieur de la bulle affiche en grand, seule cette fois-ci, la photo elle-même.
Comme vous le verrez dans mes exemples (cf. la fin de cette note) où j'ai volontairement mis en ligne un très grand nombre de photos, les puces apparaissent souvent superposées. Pour aider à les "départager", et ainsi pouvoir accéder à la totalité des clichés, il y a 2 solutions :
A mon sens, même si le mode PLAN est intéressant pour situer géographiquement l'emplacement de la photo, c'est bien le mode "SATELLITE", ou mieux encore, le mode "MIXTE", qui est le plus amusant, puisqu'il permet de superposer sa propre photo à la vue aérienne disponible sur le système de cartographie en ligne ! C'est en outre un excellent moyen de vérifier la pertinence du géocodage que l'on a réalisé...
Après ce "making of" détaillé, place aux comptes rendus en images et en cartes de mes cinq journées dans les environs de la forêt de Tronçais :
Bonnes e-balades !
Lu sur Twitter, le 05/10/2011 : "3 Apples changed the World, 1st one seduced Eve, 2nd fell on Newton and the 3rd was offered to the World half bitten by Steve Jobs."