06 octobre 2009
Windows 7 : la virtualisation XP
La partie de carte, version Microsoft Surface
Les rencontres techniques Microsoft Days à Issy-Les-Moulineaux
25 juin 2008
Mieux profiter des photos de ma filleule
Je suis l'heureux parrain depuis le 24 mai dernier de l'adorable petite Noémie (7 mois et 2 semaines au jour de rédaction de cet article). Noémie, son frère et ses parents vivent à 250 km de moi la semaine (et encore à près d'une centaine le week-end).
Autant dire qu'Internet est le bienvenu pour garder un oeil de parrain attentif sur ma filleule, grâce aux photos que ses parents m'envoient.
Les photos par e-mail, y'a pas à dire, c'est très bien, surtout depuis la "révolution Picasa" et la simplicité avec laquelle on peut les archiver dans ce logiciel, et de là, les rendre disponibles dans un album-en-ligne consultable en permanence où que l'on soit (y compris depuis un simple téléphone mobile).
Cela dit, si les photos reçues sont de fait facilement consultables, elles n'en sont pas pour autant facilement -ou en tous cas régulièrement-... consultées !
Et oui : encore faut-il faire la démarche de se connecter à l'album en ligne, de lancer le diaporama, de le laisser défiler dans un coin de l'écran du PC... Rien de bien compliqué, n'empêche, il faut faire la démarche pour profiter des photos.
D'où une première innovation, trop méconnue, des principaux sites de partage de photos en ligne que sont Picasaweb(Google) et Flickr (Yahoo!) : les flux RSS attachés à chaque album.
C'est quoi, "un flux RSS" ? Ca prend la forme d'un simple URL (une adresse internet, autrement dit) qui mène sur une "version simplifiée et standardisée" de l'album photo (en l'occurence ; mais ça peut aussi être la liste des articles de ce blog, avec un résumé sommaire de chacun d'eux par exemple).
L'intérêt d'un "flux RSS" ? La possibilité d'incorporer ce qu'il contient (les photos d'un album en ligne, donc, ici) dans un autre logiciel qui sait décoder ces flux (tous les flux RSS "formatent" en effet l'information qu'ils contiennent de manière standardisée, rendant ainsi possible leur affichage dans n'importe quel système d'information sachant comment interpréter ce standard).
Ainsi par exemple, les photos de Noémie reçues par e-mail, puis enregistrées par moi sur le disque dur de mon PC dans un dossier "Mes Images de Noémie", dossier lui-même archivé dans le logiciel Picasa sur ledit PC, puis de là, mis en ligne dans Picasaweb, peuvent automatiquement apparaître sur le "bureau Windows" de n'importe lequel de mes PC connectés à Internet, sur lequel j'ai simplement installé une fois pour toutes un petit logiciel (Google Desktop par exemple, ou encore la Sidebar intégrée à Windows Vista) capable de m'afficher en arrière plan, ou dans un coin de l'écran, le contenu d'un flux dont je lui ai donné l'adresse.
Pas mal, on progresse : plus besoin de "penser à" / "prendre le temps de" se connecter à l'album en ligne pour profiter des photos, elles sont en permanence dans un coin de mon écran de PC.
Oui, mais bon : reste à ne pas oublier, à chaque réception d'un nouvel e-mail de Loïc, de Carole ou de Louis (3 ans et déjà très à l'aise avec son appareil photo numérique et son EeePC
) contenant des photos de Noémie, de recommencer toute la procédure (sauvegarde sur le PC, archivage dans Picasa, publication dans l'album Picasaweb). Ce qui peut ne pas être "si simple" si je suis "loin de ma base pour quelques semaines" (en vacances par exemple) quand les photos arrivent par e-mail.
Et là, Flickr rend un service que Picasaweb ne rend pas (encore) : la possibilité d'alimenter un album photo via un simple e-mail envoyé à une adresse "bizarre" ("bizarre", car -volontairement pour éviter le SPAM- pas facile à retenir). Toutes les photos envoyées en pièce jointe à cette adresse "bizarre" viennent automatiquement alimenter l'album.
Bon, c'est de mieux en mieux en effet... Quoi que... Certes, ainsi, l'album est alimenté automatiquement, mais du coup, on ne reçoit plus les nouvelles photos sur son e-mail "classique", sauf à demander à la famille de Noémie de penser à les envoyer à 2 adresses : mon e-mail habituel + l'e-mail de l'album en ligne... Et j'y tiens, moi, à les recevoir aussi sur mon e-mail classique : en effet, outre l'aspect "sauvegarde" (si Flickr tombe en panne, je loupe les photos de Noémie ? Pas question !), je dispose sur mon e-mail d'un mécanisme de re-routage vers mon téléphone mobile. Où que je sois, impossible donc de louper l'arrivée d'une photo de ma filleule (manquerait plus qu'ça ) !
L'idée a donc tout simplement été de ne pas communiquer aux parents de Noémie l'adresse directe "bizarre" attribuée par Flickr, mais de :
Créer une nouvelle adresse : j'aurais pu choisir de la créer sur un service gratuit comme GMail, par exemple, qui offre toutes les possibilités techniques requises (comme je dispose de mon propre nom de domaine -sebafil.com- et d'un hébergement associé, j'ai choisi de créer l'adresse via le service proposé par mon hébergeur). J'ai choisi pour cette adresse un nom suffisamment long pour éviter qu'elle ne soit générée aléatoirement par les "robots SPAMeurs" ; et suffisamment parlant pour que les parents de Noémie la retiennent facilement...
... De faire en sorte que tout courriel qui arrive sur cette nouvelle adresse soit rerouté vers mon adresse e-mail habituelle ; et vers l'adresse "bizarre" attribuée par Flickr...
... Sachant que tout ce qui arrive sur mon e-mail habituel est automatiquement rerouté sur l'adresse e-mail de mon téléphone mobile.
Ca prend forme : on a ainsi le beurre (les photos sont automatiquement classées dans un album en ligne, hébergé par Flickr, et donc consultables de n'importe quel PC connecté à Internet, téléphone mobile, PDA, lecteur de flux RSS...) ; et l'argent du beurre (les photos arrivent toujours par e-mail, ce qui permet d'être instantanément prévenu de toute nouvelle arrivée).
Reste, après le beurre et l'argent du beurre, à aborder la cerise sur le pompon du gâteau !
Et oui, car pour que tout ce qui est décrit ci-dessus fonctionne et permettent de consulter les photos, encore faut-il... être devant son ordinateur (ou au moins, devant son téléphone mobile). ceux qui me connaissent savent que ce n'est pas vraiment un problème... Mais bon, mettons que ça en soit un...
Jadis (souvenez-vous, c'était au siècle précédent ), avant la photo numérique, on mettait les photos "papier", "même pas numériques", dans de vulgaire cadres. Récemment, les géants de l'électronique ont commencé à nous vendre à prix d'or des petits écrans-avec-un-pied-derrière destinés à remplacer ces cadres. L'idée ? On sort la carte-mémoire de son appareil photo numérique, on la met dans le lecteur intégré à ce "cadre numérique", et les photos s'affichent... Sympa, sans plus.
Mais la dernière idée en date, assez peu répandue hélas pour le moment, c'est d'ajouter à ces "cadres numériques" les 2 briques manquantes pour les rendre vraiment intéressants :
Une connexion internet, sans fil tant qu'à faire (en Wi-Fi donc) ;
Et... Et... Ben alors quoi, vous n'avez pas suivi ? Eh bien oui, un lecteur de flux RSS.
Et donc, mais oui vous voyez que vous avez suivi, je vous le confirme :
Toute photo de Noémie envoyée par ses parents, par e-mail, à la nouvelle adresse que j'ai créée...
... puisqu'elle alimente automatiquement un album en ligne Flickr, et que tout album en ligne Flickr dispose d'un flux RSS...
... se retrouve instantanément sur mon cadre photo numérique !
Tout ça pour en arriver là : faire apparaître immédiatement dans un bon vieux cadre, une photo envoyée en pièce jointe par e-mail ! Sans qu'il y ait besoin d'un PC allumé ou pire, d'une imprimante !
C'est pas beau, la technique ?
Ca c'était la cerise... Pour ce qui est du pompon, si vous avez été attentif en regardant la vidéo, vous aurez noté (c'est à environ 30 sec. du début) qu'au milieu des photos est venu se glisser un élément "qui n'a rien à voir", en l'occurence les prévisions météo pour Paris.
Quesako ? En fait, je n'ai pas paramétré directement mon cadre avec le flux RSS de l'album Flickr, cela pour 2 raisons :
Mon album Flickr avec les photos de Noémie n'est pas public : il n'y a que moi et la famille qui pouvons le consulter. Les flux RSS de Flickr étant, eux, publics, celui de mon album ne renvoie donc... absolument rien !
J'ai stocké certaines photos de Noémie dans un album Picasaweb, et je souhaitais donc pouvoir alimenter mon cadre avec plusieurs flux RSS.
La solution ? Passer par un autre service très intéressant : FrameChannel. On pourrait dire de ce site que c'est une sorte de "table de mixage de flux RSS". Il a tout particulièrement été conçu avec en tête l'idée de se "fabriquer", à partir de sources multiples, un flux RSS "sur mesure" pour son cadre photo numérique.
Outre mon flux RSS Flickr (FrameChannel me permet d'indiquer mes identifiants Flickr, ainsi, le contenu "privé" de ce flux est récupéré) et mes flux RSS Picasaweb contenant l'ensemble de mes photos de Noémie (Flickr : celles reçues regulièrement par e-mail des parents de Noémie ; Picasaweb : mes propres photos prises quand je vais voir Noémie), il a été possible d'insérer à l'aide de FrameChannel d'autres sources "pensées pour un affichage sur le petit écran d'un cadre photo numérique". En l'occurence, la météo, mais également des flash d'informations de l'agence Reuters rédigés, illustrés et mis en page "sur mesure" pour un écran de 8 pouces.
L'adresse d'un flux RSS FrameChannel est en outre "privée" : seul l'auteur du "mixage" la connaît, et lui seul peut donc la paramétrer dans son cadre.
Le mariage Wi-Fi / flux RSS / cadres photos numériques offre, on le voit avec les différents exemples que j'ai mis en oeuvre, des perspectives très intéressantes qui peuvent à présent justifier l'achat de ces gadgets.
D'autant que bizarrement, les quelques cadres les plus sophistiqués sont loin d'être les plus chers. J'ai opté pour un Samsung SPF-83V qui aujourd'hui, sur le marché français, présente à mon sens le meilleur rapport possibilités/qualité/prix.
Outre les possibilités évoquées dans cette note, ce cadre permet la lecture des vidéos, mais aussi de la musique (MP3, WMA...) stockée soit sur une carte mémoire, soit dans sa (petite) mémoire intégrée, soit lue directement, via le Wi-Fi, dans le Windows Media Player de n'importe quel PC connecté au même réseau local que lui.
Il offre aussi une fonctionnalité vraiment bien pensée : l'arrêt et le démarrage automatique, chaque jour, à heure fixe (allant même jusqu'à proposer d'appliquer cette programmation uniquement en semaine, ou au contraire uniquement le week-end). Pour reprendre un des arguments du début de ce billet, il n'y a donc vraiment plus à "penser à ne pas oublier d'allumer le cadre" pour profiter de son contenu actualisé en temps réel.
Sympa, non ?

11 février 2008
Bill Gates à La Sorbonne le 29 janvier 2008
29 janvier 2008
30 décembre 2007
Nouveautés Gigaset...
J'ai profité de mes congés de fin d'année pour compléter l'installation domotique de la maison avec un nouveau Gigaset.
C'est quoi, "un Gigaset" ? Et qu'est-ce qu'il a de particulier, le nouveau venu ?
Je vous explique (presque) tout dans cette petite vidéo :
Au-delà des possibilités que j'ai mises en oeuvre et filmées ici, il faut savoir que le Gigaset HC450 est également capable de commander l'ouverture d'une porte, si celle-ci est équipée d'une gâche électrique standard. Dans ce cas, cette commande d'ouverture peut aussi se faire quand on répond au visiteur depuis le téléphone mobile, et cela de manière sécurisée : il faut en effet taper sur le mobile un code secret que l'on a choisi avant de partir !
Ce premier complément domotique à l'univers Gigaset de Siemens est très prometteur, et on suppose qu'il y aura d'autres applications.
Le coeur du Gigaset HC450, intercalé dans le garage avant le carillon
Malheureusement, même si la documentation de ce produit est entièrement francisée, et alors qu'il est disponible en Allemagne depuis plus de 6 mois, le HC450 est toujours introuvable en France. J'ai du me procurer le miens directement en Allemagne (merci internet, et merci Google Translate ).
Avant de faire cet achat, Siemens France m'avait indiqué par e-mail :
-
qu'il n'y avait aucun problème pour utiliser le HC450 en France, dès lors qu'on disposait d'une base compatible ;
-
que pour la base par contre, qui est, elle, directement raccordée au réseau téléphonique, ils ne pouvaient pas garantir un fonctionnement correct en France d'une base achetée dans un autre pays.
Au moment de choisir une base compatible, j'ai opté pour un modèle de nouvelle génération, capable de gérer aussi bien la téléphonique analogique "classique" ; que la téléphonie sur Internet -la VoIP- très à la mode en France depuis la mode des "box" des Fournisseurs d'Accès à Internet (F.A.I.).
Ma base Gigaset S450ip est donc connectée à la fois à la ligne téléphonique France Télécom (pour la téléphonie analogique) ; et à Internet, via le routeur de la maison (pour la VoIP).
Magie de l'Internet, je peux ainsi utiliser depuis mon accès Internet ADSL "basic" en normandie, les services de la ligne ADSL dégroupée "100% NeufBox" de mon appartement parisien, et ainsi profiter de la gratuité d'appel vers tous les téléphones fixes de près d'une cinquantaine de pays, sans avoir à payer un abonnement supplémentaire. Et cela depuis n'importe lequel des téléphones Gigaset de la maison, mêmes les plus anciens. Il suffit en effet, lorsque l'on compose le numéro de téléphone, d'ajouter un simple * après le dernier chiffre pour que celui-ci soit acheminé par la VoIP plutôt que par la ligne analogique.
Cette magie est rendue possible par le choix de mon F.A.I., Neuf Telecom, en matière de téléphonie IP : il utilise en effet le standard S.I.P. (à l'instar de Free, par exemple), plutôt qu'une norme propriétaire (ce que fait France Telecom avec ses livebox). Il suffit d'activer le service gratuit NeufTalk pour recevoir les identifiants S.I.P. à saisir lors de la mise en service du Gigaset S450ip. Ce dernier étant pré-paramétré pour les principaux fournisseurs de services S.I.P. français, la configuration est vraiment très rapide (pour Neuf Telecom, il faut choisir le fournisseur Wengo, la filiale de N9uf spécialisée dans la VoIP).
28 juillet 2007
Ce n'est pas (encore) trop grave...
Le diagnostic vient de tomber, rien de catastrophique...
Bon, d'accord, ça, c'est un peu préoccupant :
Mais d'un autre côté :


17 juillet 2007
Le géocodage des photos...
Comme annoncé à l'époque, mes quelques jours de balades fin mai dans la forêt de Tronçais et ses environs ont été l'occasion de capturer, en plus des habituelles (nombreuses) photographies, les tracés GPS de chacune des randonnées (à l'aide d'un PocketPC Glofiish X500 sur lequel étaient installés le logiciel Bayo PocketExplorer et les fonds de carte au 1/25000 de la région).
De retour à la base, le but du jeu a donc été le suivant : "mixer" les photos et les enregistrements du GPS, le point commun entre les 2 étant l'heure et la date. En effet, une photo est horodatée ; et un enregistrement GPS n'est finalement pas grand chose d'autre qu'une heure, une date, une latitude et une longitude.
Il a donc suffit, avant de partir en balade, de bien ajuster l'heure et la date de l'appareil photo sur celles récupérées des satellites par le GPS, pour qu'un rapprochement précis soit ensuite possible (1 minute de décalage entre les deux appareils pourrait en effet se traduire par plusieurs dizaines de mètres d'erreur dans le positionnement de la photo !) . Les fichiers .JPG enregistrés par tout appareil photo numérique disposent, dans ce que l'on appelle leurs "données EXIF", de nombreuses informations sur les conditions de prise de vue (type d'appareil, photo avec ou sans flash, etc...). Deux de ces zones permettent le stockage des coordonnées : latitude et longitude.Pour simplifier ce rapprochement, plusieurs logiciels existent sur le marché, l'un des plus aboutis de ceux que j'ai pu tester étant RoboGEO, que j'ai utilisé dans cet exemple.
Outre le géocodage des fichiers .JPG à proprement parler (les coordonnées de chaque photo sont à présent définitivement "gravées" dans le fichier .JPG, permettant dans de nombreuses années de retrouver très précisément le lieu où elles ont été prises, quand bien même les sites sur lesquels elles ont été publiées auraient disparu !) , ces logiciels amplifient considérablement les informations échangées lors du partage des photos via un service en ligne tel que Flickr : comme je l'ai déjà montré avec quelques exemples, chaque photo vue dans Flickr comporte des liens permettant de la positionner sur différents systèmes de cartographie en ligne, tels Google Maps, Yahoo! Maps ou même Google Earth.
En faisant appel aux services de Google Maps (via sa remarquable API - interface de programmation -), et à un espace d'hébergement de pages perso tout bête (tel celui dont tout internaute dispose via son fournisseur d'accès), on peut même assez facilement proposer sur son propre site web une présentation très attrayante d'une excursion, ses photos venant prendre place automatiquement soit sur des fonds de carte (en cliquant sur PLAN en haut à droite), soit sur des vues aériennes (SATELLITE), soit même sur un "mix" des deux (MIXTE, l'affichage que j'ai choisi par défaut) !



Sur ces fonds de carte, chacune des photos que l'on propose aux visiteurs de son site est matérialisée dans un premier temps par une "puce rouge". Un simple clic sur une de ces puces et la photo apparaît dans une bulle, pointant l'endroit où elle a été prise !

Bien évidemment, un nouveau clic sur la photo à l'intérieur de la bulle affiche en grand, seule cette fois-ci, la photo elle-même.
Comme vous le verrez dans mes exemples (cf. la fin de cette note) où j'ai volontairement mis en ligne un très grand nombre de photos, les puces apparaissent souvent superposées. Pour aider à les "départager", et ainsi pouvoir accéder à la totalité des clichés, il y a 2 solutions :
soit utiliser le zoom, en glissant à l'aide de la souris son curseur vers le haut, ce qui aura en outre l'avantage d'agrandir la photo aérienne si on a choisi ce mode d'affichage (attention cependant à ne pas trop zoomer, notamment en affichage "SATELLITE" : dans certaines régions, la qualité des vues aériennes de Google Maps n'autorise pas de zoomer au maximum, et il faut alors se rabattre sur l'affichage PLAN pour conserver un niveau de zoom très élevé) ;
- soit sélectionner chaque photo l'une après l'autre à l'aide de la liste déroulante en haut à gauche de chaque page : on est ainsi certain de n'en louper aucune.
A mon sens, même si le mode PLAN est intéressant pour situer géographiquement l'emplacement de la photo, c'est bien le mode "SATELLITE", ou mieux encore, le mode "MIXTE", qui est le plus amusant, puisqu'il permet de superposer sa propre photo à la vue aérienne disponible sur le système de cartographie en ligne ! C'est en outre un excellent moyen de vérifier la pertinence du géocodage que l'on a réalisé...
Après ce "making of" détaillé, place aux comptes rendus en images et en cartes de mes cinq journées dans les environs de la forêt de Tronçais :
- Journée du lundi 21 mai 2007
- Journée du mardi 22 mai 2007
- Journée du mercredi 23 mai 2007
- Journée du jeudi 24 mai 2007
- Journée du vendredi 25 mai 2007
Bonnes e-balades !
28 mai 2007
Nouvelle version du Geoportail de l'I.G.N.
Une nouvelle verison du "Google Earth Made In France", le Geoportail de l'Institut Géographique National, est disponible à cette adresse :
http://visubeta.geoportail.fr/
Il s'agit d'un version beta à ce jour, d'où cette adresse (provisoire) un peu particulière...
A suivre...!10 mai 2007
Mai 2007 : le mois du géocodage sur FilBlog II
Prochainement sur votre écran, mon excursion dans l'Allier (à la frontière de la Sologne, à partir du 21 mai, nous y reviendrons) sera l'occasion de quelques démonstrations de géocodage.
Les différentes notes de ce blog ont déjà été l'occasion de réaliser quelques démonstrations de partage d'images, en s'appuyant notamment sur des outils tels que Flickr et Picasa(web).
Vous avez également pu découvrir des "images fixes" de tracés enregistrés par mon GPS et reproduits sur des fonds de cartes IGN ou autres...
L'étape suivante va "naturellement" être de vous proposer, toujours via Flickr, des photos qui comporteront, en elles-même, l'enregistrement des coordonnées (latitude et longitude).
Le jeu consiste pour moi à rapprocher (ou plutot à "faire rapprocher" par un logiciel) les coordonnées mémorisées par le GPS ; et les photos prises par mon appareil numérique.
Comment se passe ce rapprochement ? C'est finalement très simple : l'enregistrement du GPS et les photos ont un point commun : l'heure et la date ! Le logiciel de géocodage recherche donc, en fonction de l'heure et de la date de prise de vue de chaque photo, l'heure et la date les plus proches dans le "journal" du GPS. La latitude et la longitude correspondantes sont alors "gravées" à l'intérieur du fichier .JPG de la photo.
Quelques manipulations de plus, et Flickr peut alors proposer des photos comportant, en guise de légende, des liens permettant de les positionner sur les principaux systèmes de cartographie disponibles sur Internet : Google Earth, Google Maps, et même des cartes (aéro)nautiques.
L'avantage par rapport aux tracés que je postais précédemment est évident : ces systèmes de cartographie en ligne vous permettent de zoomer, de vous déplacer pour visualiser l'environnement et mieux situer la photo, voire de passer d'une vue de type "carte" à une vue de type "photo aérienne" !
Voici un petit exemple de ce que ça donne :
Après avoir cliqué sur cette photo, ce qui va la faire apparaitre dans l'nterface web du logiciel Flickr, amusez-vous à cliquer en dessous sur les différents liens "Map-It" proposés : vous devriez ensuite très vite comprendre, et je l'espère, apprécier !
A suivre...!03 mars 2007
Retour en video sur les TechDays 2007
Microsoft France vient de mettre en ligne des videos de l'ensemble des sessions techniques de ses journées TechDays 2007, auxquelles j'ai assistées début février :
http://www.microsoft.com/france/vision/mstechdays/
07 février 2007
Pour finir : les StudentDays !

Pour finir : les StudentDays !
Originally uploaded by sebafil.
Pour clôturer les TechDays, 3 heures orientées "grand public" : les StudentDays... Changement de public, et donc, d' ambiance !
Au programme, moins de serveur et d'administrarion ; + de multimedia et de nouveaux "gadgets" :-) !
Suite des TechDays 2007

Suite des TechDays 2007
Originally uploaded by sebafil.
3ème et dernier jour des TechDays au Palais des congrès...
En souvenir de ce superbe voyage, je laisse à la Une de mon blog le diaporama qui a été mis à jour tout au long de ce périple de plus de 4000 km ! Vous pouvez également retrouver les nombreux billets postés lors de ce voyage en cliquant ici.